SYSTEME SOLAIRE ET POIVRONS FARCIS
INFO DU JOUR: Le système solaire pourrait compter 12 planètes
Au sein du système solaire, le club très fermé des planètes devrait bientôt s’ouvrir à de nouveaux membres. Selon le comité de l’Union astronomique internationale (IAU) qui rend publique aujourd’hui sa définition tant attendue du terme ‘’planète’’, le système solaire ne compterait plus seulement neuf mais douze planètes.
C'est le genre d'info qui me branche pas des masses( cé le cas de le dire) quand je pense que des scientifiques ont mis 2 ans pour trouver ça, bien payés je suppose, j'avoue que ça me laisse perplexe seraient pas un peu dans la lune ces gens là ? Ceci dit ce sont les éditeurs de manuels scolaires et d'astrologie qui vont être contents.
Pour ma recette du jour planez pas trop dans le cosmos :
4 poivrons rouges
250 d’agneau haché ou porc haché
150g riz
1 courgette
20 cl coulis tomate
150 g petit pois cuits
3 oignons blancs
½ yaourt nature
2 gousses d’ail
1 œuf
½ citron
2 c à s de coriandre hachée
2 c à s menthe hachée
Hachez ail et oignons. Coupez la courgette en dés, cuire le riz à l’eau. Faire revenir à l’huile d’olive ail , courgette et oignons, ajoutez la viande, cuire 10 mn, sel et poivre, ajoutez le riz cuit, le yaourt, les petits pois, le coulis de tomate, l’œuf, le jus de citron, menthe et coriandre hachée réservez.
Ouvrir un chapeau sur les poivrons, enlever les graines, les farcir avec la préparation
Mettre dans un plat huilé, arroser d’huile d’olive cuire 40 mn th6.
Vin conseillé : Minervois, Corbières, côtes de Provence rouge.
POLAR: je vais faire une exception en vous recommandant la lecture d'un roman qui n'est pas un polar, mais qui très jubilatoire et un tantinet philosophique, c'est le livre de Martin PAGE " on s'habitue aux fins du monde"
Une tragi-comédie qui nous entraîne dans les eaux troubles du vide existentiel d’un producteur de cinéma…
Martin Page a la réputation d’être un fin satiriste et de savoir toucher là où ça fait mal pour parler de son époque… À la lecture de ce livre plein de rire et de désarroi, disons simplement que sa réputation n’est pas usurpée. Nous suivrons ici les tribulations tragi-comiques d’un certain Elias, un producteur de films dont la vie se délite de manière inquiétante. Il y a bien sûr le vide de la société du Spectacle dans laquelle il lui faut bien évoluer. Il y aussi et surtout la difficulté à supporter les demi-folles qui gravitent autour de lui, comme Clarisse et Zoé. Le drame de cet homme ? Comprendre que cette vie est inadmissible et larguer les amarres un soir où pourtant il se voit décerner un prix pour récompenser son travail…
Entre l’échec du marivaudage amoureux et le refus de frayer dans les eaux poisseuses de l’industrie cinématographique, comment donner un sens à sa vie ? Comment meubler le vide pour ne pas succomber chaque jour à une nouvelle fin du monde ? Car si le pire était moins la fin du monde elle-même que l’aptitude de certains à l’encaisser, jusqu’au vertige, jusqu’au suicide le plus quotidien ?
Telle est la question que l’on se posera volontiers en suivant le parcours d’Elias, pur produit de la misère contemporaine, pur produit de la famine des cœurs…
Un panorama tragi-comique des mœurs et des amours d’aujourd’hui en même temps que le portrait très réussi d’une victime de la civilisation de l’image. Un livre, surtout, où l’on ne s’ennuie pas une seconde.